Fiscalité internationale : 5 erreurs que même les particuliers fortunés commettent
Optimiser sa fiscalité internationale ne s’improvise pas. Beaucoup de dirigeants et particuliers fortunés commettent encore des erreurs coûteuses lorsqu’ils s’installent en Andorre ou créent une société à l’étranger. Découvrez les 5 pièges les plus fréquents et comment les éviter grâce à une structuration claire et sécurisée.
Fiscalité internationale : pourquoi vivre à l’étranger ne suffit pas toujours

Le mythe des 183 jours
Passer plus de six mois en Andorre vous rend résident fiscal… pour Andorre.
Mais pour la France, ce n’est pas si simple.
La nécessité d’une structuration cohérente
Créer une société andorrane tout en conservant une activité ou des intérêts en France demande une structuration cohérente : gestion des flux, des fonctions, des contrats, de la facturation.
Ce n’est pas le lieu de résidence qui compte, mais la logique d’ensemble. Il faut respecter un équilibre fin et cohérent dans la gestion des flux, des fonctions et des responsabilités entre les deux pays.
Ce qu’il faut retenir : en fiscalité internationale, la cohérence prime sur l’adresse postale. Un bon montage s’appuie sur une stratégie alignée entre les deux juridictions.
Ne pas tenir compte des conventions fiscales internationales
Le rôle des conventions bilatérales
C’est là que tout se joue.
Une structuration intelligente repose sur un jeu d’équilibre entre deux fiscalités et les conventions bilatérales sont la charpente qui rend cette optimisation possible.
Éviter la double imposition
Connaître ces accords permet de positionner les flux au bon endroit, d’éviter la double imposition, et de faire en sorte que chaque pays impose ce qu’il est censé imposer : ni plus, ni moins.
C’est ce qui nous permet aujourd’hui de créer pour nos clients des schémas à la fois efficaces et parfaitement justifiables, même en cas de contrôle.
La fiscalité internationale ne repose pas sur le hasard : elle repose sur la bonne lecture des règles du jeu.
Et c’est justement parce que nous maîtrisons ces règles, à la fois côté français et côté andorran, que nous savons comment positionner chaque pièce du puzzle.
Ce qu’il faut retenir : ce n’est pas une question d’opacité, mais d’équilibre.
Une convention fiscale bien utilisée permet d’optimiser votre imposition tout en garantissant une structure lisible, conforme et pérenne.
Négliger les formalités… alors qu’elles vous protègent
Des obligations protectrices
Les formalités ne sont pas là pour complexifier votre projet. Elles sont là pour le solidifier.
La conformité comme levier
Créer une société en Andorre, organiser vos revenus, transmettre à vos enfants, préparer une cession d’activité : tous ces objectifs sont atteignables si chaque étape du projet est pensée avec méthode.
Et cela passe par une conformité sans faille, côté andorran comme côté français.
Nous accompagnons nos clients dans la rédaction des bons contrats, la mise en place des bons comptes, la coordination avec les interlocuteurs adaptés à chaque phase du projet.
Rien n’est laissé au hasard — parce qu’en fiscalité internationale, c’est justement ce cadre rigoureux qui vous permet d’optimiser durablement, sans prendre de risque inutile.
Ce qu’il faut retenir : ce qui peut sembler lourd est souvent votre meilleure protection. Une fiscalité internationale bien encadrée est un levier, pas un risque.
Une structuration sérieuse, même progressive, permet d’alléger son imposition tout en préparant l’avenir : transmission, vente, réinvestissement.
Confier son projet à un prestataire qui ne maîtrise que l’Andorre
Les limites d’une vision partielle
Créer une société en Andorre, c’est une chose.
Mais sécuriser votre situation vis-à-vis de la France en est une autre.
Beaucoup de prestataires ne traitent que la partie andorrane, en laissant de côté les impacts fiscaux, juridiques et patrimoniaux côté français.
Résultat : des montages flous, des flux mal positionnés, et un risque de requalification en cas de contrôle.

L’importance de la double expertise
Notre cabinet travaille en étroite collaboration avec des avocats fiscalistes français. Cette double expertise nous permet d’assurer une structuration cohérente, lisible et défendable dans le temps.
Ce qu’il faut retenir :une société andorrane, seule, ne suffit pas. C’est l’articulation France-Andorre qui fait la force de votre stratégie fiscale.
Vouloir aller vite… alors que vous avez mis des années à tout construire
Le danger de la précipitation
Un changement de résidence fiscale entraîne des applications fiscales importantes, tant en France qu’à l’international.
Créer une société en Andorre prend du temps. Et c’est une bonne chose.
Vous avez mis des années à construire votre activité. Pourquoi tout précipiter au moment de repenser votre fiscalité ?

Un accompagnement étape par étape
Chez nous, un accompagnement s’étale souvent sur un ou deux ans, avec un suivi structuré, étape par étape. Chaque point est vérifié par nos avocats andorran et français, nos économistes et comptables, chaque choix est justifié.
C’est ce rythme maîtrisé qui garantit une optimisation fiscale réellement pérenne.
Ce qu’il faut retenir : un projet bien mené prend du temps.
Mais à l’arrivée, vous disposez d’un outil fiscal puissant, structuré et conforme, qui protège vos intérêts et ceux de votre famille.
Comment construire une stratégie de fiscalité internationale efficace ?
Une stratégie qui va au-delà de l’Andorre
Créer une société à l’étranger, structurer ses flux, alléger son imposition : tout cela est possible.
Mais pas seul, et pas à la va-vite.
Chez nous, le “clé en main” signifie :
une vision globale,
une stratégie sur-mesure,
des partenaires spécialisés (avocats, expert-comptable) côté France et Andorre,
et un accompagnement complet jusqu’à la stabilisation du projet.
Découvrez notre accompagnement sur la création de société en Andorre ou poursuivez avec cet article sur le moment idéal pour consulter un fiscaliste international.